Le comparatiste Georges Dumézil a reconnu en ce jeune homme héroïque qui, « par l'inquiétude et l'admiration, incline le chef ennemi à une négociation qui est le dernier espoir de Rome » une figure comparable au dieu Tyr de la mythologie scandinave, qui sacrifie son bras droit en le risquant « comme gage, pour amener le petit loup à croire une fausse déclaration qu'il ne croirait pas sans cela et que le salut de la société divine exige qu'il croie ».
De manière plus générale, Dumézil a montré que l' « histoire » romaine des premiers siècles est en réalité souvent une mythologie transposée sur le plan de la réalité temporelle et humaine.